La Traque !

Silphia était entrée dans la ville depuis plus d’une heure. Elle se dirigeait vers le lieu où l’on pouvait trouver le plus d’informations. Elle restait dans les coins d’ombre. Peu de personnes faisaient attention à elle. Presque personne ne pouvait dire ce qu’elle était. Elle était toujours aussi silencieuse. Elle n’avait pas encore parler une seule fois depuis son arrivée. Elle se rendait à la taverne la plus proche…Elle espérait pouvoir y glaner quelques informations. Elle retrouva devant le bâtiment. Elle sourit. Il était plein à craquer. Elle entra. Il y avait de tout. Des toas, des matortans, des glatorians, des zyglaks et plein d’autres créatures. Mais il n’y avait aucun makuta. Aucun sauf elle. Elle regarda un peu partout et repéra un Zyglaks ainsi qu’un toa. Ils étaient tous les deux bien éméchés. Elle se dirigea vers eux et s’assit à leur table. Le toa ne réagit pas. Mais le zyglak ouvrit des yeux ronds comme des billes et se racla la gorge. Elle héla le serveur. Celui-ci vint de suite. On ne faisait pas attendre une dame. Elle commanda deuxjus de kraata. Il revint vite avec. Elle paya largement. Elles offrit aux deux messieurs assis à sa table. Le zyglak sourit ou plutôt essaya. C’était plutôt dur pour un zyglak de sourire. Le toa la regarda avec méfiance. Il prit le verre en silence alors que le zyclak disait un « merci » de sa voix gutturale. Elle lui sourit en retour. Elle attendit qu’ils finissent leur jus et demanda :
-Est-ce que l’un de vous pourrait me renseigner sur un certains toa Arnal ?
Sa voix était sensuelle. Le toa la regarda d’un regard noir et se leva. Il jeta une pièce au patron puis s’en alla. Le zyglak hésitait.
-Pourquoi… faire ?
Elle commanda encore un jus de kraata et se rapprocha de lui.
-Ce ta m’a volé et me doit beaucoup.
Le zyglak but un peu avant de répondre :
-Vous devriez aller voir les autorités.
Elle fit une mine triste en disant :
-J’ai déjà essayé mais i a tellement d’argent qu’il peut les corrompre facilement. Il m’a déjà fait enfermé une fois…Et je ne veux plus perdre mon temps comme ça. Ce qu’il m’a volé est bien plus précieux que ma propre vie.
Elle s’accrocha à lui. Il devint écarlate.
-Je…j’rirai voir si je peux trouver des informations…Où…Où pourrais-je vous trouver ?
-Rejoignez moi demain, ici, à l’aube.
Le zyglak se leva et sortit en trombe. Elle sourit. Son sourire était celui d’un carnassier.
Bien, voilà qui est fait…
Elle sortit, de sa démarche silencieuse, de la taverne. Elle se dirigea vers les quartiers sles plus mal famés. Là où il y avaut des ruelles sombres un peu partout. Elle savait que le toa qui était dans la taverne le suivait. Il n’était pas seul. Il était accompagnés. Elle tourna dans une ruelle sombre. Le toa de la taverne la suivit alors que l’autre faisait le tour. Elle l’attendait. Elle n’avait pas dégaine ses armes. Lui si. Il avait une longue épée. Il tourna et s’engouffra dans la ruelle. Il vit la silhouette de son ennemi. Il réagit internement. Une boule de feu liquide sortit de sa main pour filer vers son adversaire. Elle disparut soudainement. Il fut surpris. Il entendit un ricanement.
-Un toa de plasma…
Il recula d’un pas. Une dague fila vers lui. Il n’eut que le temps de la parer. Une autre se planta sans son cœur. Silphia ramassa ses arme, les nettoya rapidement avec la cape du toa et s’en alla. La vermine de cette ruelle sauta sur le toa, voulant le détrousser. Ils se battaient les uns les autres, voulant avoir l’arme ou la bourse. L’autre toa arriva. Il vit les habitants de la ruelle sur le toa mort. Il les chassa à grand coup de sa hache. Il avait déjà été détrousser. Il ne pouvait prouver qu’elle l’avait tuer. Le meurtre serait attribuer aux habitants du quartiers. Il repartit laissant le corps là. Il n’avait plus de masque, ni d’arme, ni d’argent. Il n’y avait plus rien. Silphia sortit de la ville en souriant. Tout cela méritait un bon repas.

Silphia étaient repu. Après avoir mangé le reste du matoran, elle partit vers les environs de la ville. Elle voulais connaitre tous les endroits permettant de faire une embuscade. Elle voulait tout connaitre. Son ennemis connaissait les environs. Pas elle. Elle appris par cœur l’emplacement du moindre petit caillou. Lorsque l’aube se leva, elle était fin prête. Elle se dirigea vers la ville, passant par les quartiers mal famés. Elle restait discrète. Les habitants du quartiers faisaient comme si elle n’était pas. La mort du toa de plasma s’était ébruité. Certaines personnes vivants dans ce ghettos l’avaient vue. Mais ils n’en parlaient à personne. Ils ne voulaient pas finir comme le toa. Elle fut à la taverne rapidement. Peu de personnes étaient debout. Elle devait supprimer l’autre toa. Il savait à peu près qui elle était. Le zyglak l’attendait déjà à une table. Il était venu à temps. Il était le seul à la connaitre vraiment. Elle s’approcha de lui et commanda une boisson. Elle lui offrit et lui demanda ce qu’il avait trouvé. Il eut un grand sourire. Il lui tendit un morceau de papier où étaient griffonné le numéro de sa résidence ainsi que là où il habitait ainsi que les lieux où il aimait beaucoup aller. Elle fut surprise qu’il ait appris tant de choses. Elle lui fit un large sourire et se rapprocha de lui. Il lui fit un baiser sur le joue en murmurant:
-Ceci n’est qu’un petite récompense. Plus tu m’aide et plus la récompense sera grande…
Elle se leva et sortit. Un sourire sadique étirait ses lèvres. Elle maniait tout. Elle tirait les ficelles. Toutes. Sauf une. Un seul et unique toa pouvait compromettre son plan. Le dit toa la cherchait partout dans la ville. Il était de couleur argentée. Son masque était un hau. Il avait une hache ainsi qu’une lance. Il devait avoir un style de comvat plutôt étrange. Il la trouva par hasard alors qu’elle sortait de la taverne. Il la prit en filature. Il voulait trouver là où elle se terrait. Silphia se dirigeait vers les quartiers mal famés. Elle savait qu’il a suivait. Il était à bonne distance. Elle savait qu’il ne ferait pas la même erreur que le toa de plasma. Elle changea d’itinéraire. Elle se dirigeait maintenant vers les quartiers riches. Elle pensait que le toa se ruerait sur elle mais elle eut tort. Elle ne le pensait pas aussi intelligent. Il allait lui donner du fil à retordre. Elle continua sa marche, toujours suivit. Le toa restait toujours bonne distance. Il devait avoir compris qu’elle savait où il était. Alors qu’elle allait bientôt sortir de la ville, elle tourna dans une ruelle. Quand il y arriva, il n’y avait plus aucune trace d’elle. Il n’était pas bête. Il ne resta pas à la même place. Il n’essaya pas non plus de la trouver. Il fit demi tour et partit. Quelques minutes plus tard, elle réapparut et sortit de la ville. Elle s’était tellement focalisée sur le toa qu’elle n’avait pas vu le mercenaire vortixx qui la suivait. Le toa l’avait engagé. Il avait tout prévu. Alors que le vortixx allait sortir de la ville à son tour, une énorme main lui attrapa la tête. Deux énorme mains lui compressèrent la tête. Elle explosa dans des gerbes de sang et de cerveau. Un grand sourire s’étira sur les lèvres du tueur. Silphia rentra dans sa grotte. Elle s’assit. Ce toa était vraiment un pion agissant seule. Elle était celle qui contrôlait le jeu. Elle n’avait pas donné rende vous au zyglak mais il serait surement à la taverne le lendemain. Il serait là bas. Elle en était sure. Il y serait avec de nouvelles informations. Elle sourit. Tout se déroulait comme elle l’avait prévu. Enfin…presque tout.

Des voix se firent entendre. Elles résonnaient dans la forêt.
-Mais maîtres Koorhnt et Actarus, je vous jure que ce n'est pas ma faute, ce n'est qu'une erreur de calcul de mes assistant, ayez pitié ...
-La ferme Jinita ! Tu serait capable de ruiner l'empire Skrall à lui tout seul ! Dit Koorhnt en s'énervant et en donnant un coup de pied dans les fesses du Skrall devant lui, ligoté
-Mais ce bateau est très gourmand en carburant ! Ce n'est pas moi qui l'est choisis ! Si on avait forcé les Agoris à faire le pleins, on en serait pas là
-Si maître Actarus ne me l'avait pas interdit, j'aurait laché les Spikit sur toi ! Maintenant avance ! Et en silence ...
La totalité de l'armé Skrall passa devant la grotte, sa marche militaire résonnant dans les parois ... Le Stronius s'accouda contre l'arbre à l'entrée de la grotte et dit à son unique supérieur, sa voix rauque et ferme créant un écho
-Bon, je propose qu'on rase cette ville là bas en cherchant quelqu'un qui aurait du carburant pour nous faire redémarrer ... Ou sinon, on peut toujours forcer Jinita à trouver le dit carburant en creusant dans le désert, au moins la journée ne sera pas aussi mauvaise que ça ...

-Pitié, dit Actarus, lui aussi en colère ? Tu trouve que je n'ai pas eu assez de pitié ? Tu préfères que je lâche les Spikit ? Tu es un fidèle serviteur, Jinita. Mais alors qu'on te donne la main, ne prend pas le bras, ou tu ne recevras que le doigt.

Silphia se promenait tranquillement sur le plage. Quelques reptiles volants étaient là et émettaient de drôle de sons. La makuta était en peine méditation. Elle entendit des bruits de pas. Elle courut vers la plage et se jeta à l’eau. Elle pouvait rester longtemps sans respirer mais pas une éternité non plus. Elle avait ses limites. Un skakdhi ainsi que stelian étaient en train de parler. Il s’assirent sur la plage et commencèrent une discussion. Ils étaient tous les deux lourdement armés. Ils avaient chacun une arme à feu et une arme blanche. Ils devaient êtres des mercenaires. Elle n’entendait pas bien. Elle compris tout de même l’essentiel du sujet. Elle compris qu’il y avait une sorte de mouvement terroriste voulant faire sombrer le peu de gouvernement qu’il y avait sur l’île. Ils se levèrent précipitamment et partirent. Silphia était à son ultime limite. Sa tête émergea de l’eau. Elle prit une grande goulée d’air. Elle entendit d’autres pas. Cette fois, ils étaient plus nombreux. Elle replongea. Une troupe de deux toas et cinq matorans, patrouillait sur la plage. Leur pied laissait une empreinte sur le sable chaud. Une fois qu’ils furent hors de vue, elle émergea. Elle sortit de l’au. Elle détestait l’eau mais elle était bien contente que ce liquide existe. Elle s’ébroua et prit la direction de sa cachette. Le mouvement terroriste allait bien l’aider. Elle devait aller voir son contact. Il lui fournirait peut être des informations. Elle attendait qu’elle soit totalement sèche et si dirigea vers la ville. Elle prit un autre chemins. Il ne fallait pas que des gens la vois passer tous les jours. Elle se dirigea vers la taverne. A alors qu’elle était à une rue du bâtiment où elle devait rencontrer le zyglak, une énorme main surgit de l’ombre. Elle fut entrainé dans une ruelle. Celui qui la tenait ainsi avait beaucoup plus de force qu’elle. De plus c’était peu être un allié. Elle ne voulait pas tuer des renforts. Elle s’arrêta soudain. Elle était face au zyglak qu’elle connaissait si bien. Il n’y avait personne d’autre. Elle fut surprise par le force de son acolyte. Elle ne le pensait pas si puissant.
-Pourquoi m’avoir trainée ici ? demanda t-elle.
Il regarda les alentours. Il la fixa et dit en murmurant ;
-Moins fort. Les toas épient la taverne vingt quatre heures sur vingt quatre. Je t’ai donc fait venir ici.
-Bien…quelle sont les nouvelles ?
-Le toa qui t’as tout pris…il se promène toujours avec six mercenaires sakadhi. Ils sont toujours auprès de lui. Apparemment, il craint de se faire attaquer…
Elle sourit. C’était un sourire féroce. Le zyglak recula d’un pas. Elle prit sa voix la plus douce et dit :
-Ecoute…il me faut encore deux infirmations et tu auras ta récompense…
Elle fit son air gênée. Il devint rouge écarlate.
-Que…
Il déglutit.
-Que veux tu savoir ?
-Il y a un groupe de terroristes ici. J’aimerai que tu les contactes et que tu ailles faire une commission bien spéciale pour moi. Je te recontacterai demain…

Les Skrall commencèrent à aller vers la ville. Il firent une stratégie bien à eux, comportant un mode opératoire avec un seul mot d'ordre; Tout casser.
Les Skrall les plus petit, verts et noirs, sautaient sur les toits leurs bourses remplies de Thornax, et bombardaient les habitant avec ces bombes incendiaires. Les Skopio, dans les rues, semaient une panique hors du commun. Les Skrall étaient presque tous accompagné de Spikit, qui faisaient un véritable festin. Les Bones Hunter passaient à tabac tous ceux qu'il voyaient, où renversaient des véhicules à l'aides de leurs montures Rahi géantes. Les Stronius faisaient autre chose; dévaliser tous les magasins à la recherche de carburant, et faire un maximum de prisonniers. Des civils trop téméraires essayaient de se défendre, mais les Skrall étaient trop fort, si bien entraînés et trop nombreux. C'était trop facile pour eux, ils gagneraient quoi qu'il arrive, et ils le savent. Koorhnt croisa les bras derrière sa tête.
-Rien de tel qu'un bon saccage pour vous remettre en forme ! Les affaires reprennent ! Plus vite Jinita, c'est un peu mou tout ça ...
-Gnnn ... Oui maître ... Mais vous ... Gnn ... Êtes lourds vous et maître Actarus ...

-C'est bon, je vais marcher.
Mais en vérité, c'était surtout Koornht qui écrasait le pauvre Jinita qui en était au point où il se demandait si les Spikit auraient étaient mieux.

-Oui, moi aussi.
Jinita s'écroula complètement fatigué sur le sol lorsque le Stronius quitta son pauvre dos. Les petites jambes de Koorhnt avaient du mal à suivre les grandes jambes effilées d'Actarus, ce qui créait une scène assez drôle sur un fond qui ne l'était pas autant. La ville, premièrement pillée, commençait à être brûlée avec le carburant en trop. Mais dans ce décor de flammes, nos compagnons s'arrêtèrent. au beau milieu d'une rue. Ils avaient été encerclés par les Toa qui avaient échappés aux Skrall. Un vingtaine. Voire moins. Trois demi-douzaines.
-Les Skrall sont comme des insectes. Ils sont vulnérable, mais profitent d'être nombreux. Seulement, lorsque tue la reine de l'essaim, celui-ci s'éteint ...
Koorhnt, sentant la bagarre venir, sortit ses épées ...

Silphia avait beaucoup aimait la visite des skralls. Aucun ne s’était aperçu qu’elle leur avait joué un tour. Personne ne l’avait vu. Elle se dirigea vers un seul endroit. Vers le zyglak. Lorsqu’il la vit, il eut un sourire béat. Elle ne sut comment l’interprété. Il aurait sa récompense. Il lui tendit un objet, enroulé dans de la soie. Elle le rangea et partit au pas de course. Elle était suivis par son « compagnon ». Personne ne faisait attention à elle, c’était une véritable débandade. Deux skralls voulurent lui barrer la route. Un dague finit dans la gorge du premier alors que la tête du deuxième finit broyée dans le puisant étau des bras du zyglak.
-Les terroristes ? demanda la makuta.
-Partit pour la prochaine ville.
Elle hocha la tête. Elle avait envoyé les vingt toa vers le chef skrall mais il ne savait pas qu’elle était ici. Elle sourit, amusée. Un toa lui barra la route. C’était le toa qu’elle détestait.
-Je avais enfin avoir l’occasion d’en finir, dit il.
Il pointa sa lance vers Silphia. Elle s’agrandit d’un coup et fonça vers le cœur de la makuta. Elle s’arrêta à quelques centimètres et reprit sa forme originelle.
-Surpris ?
Il grogna. Le zyglak attaqua. Sa force fut si grande que le toa du lâcher sa hache. Il essaya de blesser le zyglak mais Silphia agit à ce moment précis. Une dague se planta dans son cœur. Elle la retira d’un mouvement vif et continua sa route. Elle ne vit pas le toa tomber à genoux et rester dans cette position. Jamais il ne tomba à terre. Il tenait toujours son arme, même dans la mort. Elle recherchait un groupe bien spéciale. Elle le trouva. Elle eut un sourire de satisfaction. Le toa qu’elle était venue assassiné. Il était entouré de trois skakdhis. Trois autres gisaient à terre. Des skralls les entouraient. Une bonne dizaine. Elle attendit la fin de l’affrontement. Il restait le toa et un skakdhi ayant une épée enflammée.
-Maintenant murmura t-elle.
Le zyglak se jeta sur le skakdhi. Il firent un roulé-boulé. Il cassèrent une échoppe. Seul l’un d’eux avait une arme. C’était un combat de force.
Le toa blêmit lorsqu’il la vit. Son armure blanc neige devint pâle. Il l’avait reconnu. Il dégaina son épée et elle aussi. Ils étaient tous deux d’excellents escrimeurs. Il attaqua. Il visa les jambes. Eklle para. Il continua d’attaquer, enchaînant figure après figures. Elle parait tout mais était tout de même sur le défensive. Il fit une feinte. Elle recula. Il avança, attaqua. Elle para. Il effectua une deuxième feinte. Elle fut touchée. Elle attaqua à son tour. Ses coups étaient rapides et puissants. Le toa les parés tous, sans problème. Leurs lames étaient floues. Des étincelles voletaient autours d’eux. Ils attaquèrent avec leur meilleur coup. Il y eut une giclée de sang ainsi qu ‘un gémissement. Une lame ensanglantée dépassait d’un dos. Le lame se retira, laissant tombé un corps. Le rouge et le blanc ne se mariait pas très bien. Elle lécha le sang sur son épée et la rengaina. Le zyglak en avait lui aussi finit. Son flanc était brûlé. Surement à cause d’une vision laser ou thermique. Il vint vers elle.
-Oui, ta récompense…il n’y aucun problème. Je respecte ce que tu dis.
-J’ai une question. A quoi va servir ce que je vous ai acheté ?
Elle sourit.
-Voyons, c’est ta récompense…
Il fut pris de panique. Il avait compris ce qu’elle voulait dire. Il se mit à courir. Elle enleva l’étoffe de soie, révélant une sarbacane, argentée, déjà armée. Elle souffla dedans. Une fléchette fendit l’air et se planta dans la nuque du fuyard qui tomba au sol en gémissant. Elle se rapprocha de lui, laissa tomber l’arme et enjamba le corps qui se convulsait. Elle sourit. Personne ne savait qu’elle avait été là…

-Groz, Koornht, à mes côtés ! Nous allons déguster du Toa !
Il sourit. Il avait une mauvaise blague à faire.
-Groz, a 3 nous foncerons vers les Toa avec les autres, d'accord ?
-Oui maître.
Actarus prépara sa lame est la fit brillé au soleil. Les Toa blêmirent de peur.
-1.
Groz saisit sa massue et afficha un gros sourire;
-2.
Actarus fonça directement dans la masse, sous les gémissement de Groz qui le suppliait de lui laisser des Toa. Mais Actarus était gourmand, il chantait.
-Un Toa, deux Toa, trois Toa rôtis ! A la broche, a la broche !
Il chantait en ricanant, fendant des crânes, décapitant des Toa, les empalant, leur crevaient les yeux, leur manger la cervelle, leur fracassait les os à coup de sceptre.

Koorhnt tira un Thornax sur le groupe de Toa opposé. Ceux-ci pensèrent l'éviter en sautant. Seulement, Koorhnt tira un second Thornax pendant qu'il étaient en l'air. 2 Toa furent mortellement touché, 2 autres gravement, les 5 restant justes soufflé. Un Toa arriva derrière lui, hache levée. Le Stronius lui planta une épée dans le ventre, et le décapita de la seconde. Voulant prendre le Kanohi comme trophée, il prit la tête et retira le masque. Il fut surpris.
-Maître ! Ce ne sont pas des Toa !
Il brandit la tête du Makuta.

Plusieurs Toa ne comprenaient plus rien. Mais ils allaient comprendre. Environ la moitié des "Toa" retirèrent leur masques. Des Makuta ! C'était une embuscade contre les Toa, mais qui tournait mal à cause des Skrall.
-Damnation !
Actarus décapita un autre Toa et se retrouva face à un Makuta.
-Passe ton chemin.
Le Makuta lui répondit avec un hurlement et fit tournoyer son fléau. Actarus évita le coup, lui donna un coup d'épée dans les...et le trancha en deux.

Silphia voyageait silencieusement. La ville vers laquelle elle se dirigeait était bien plus grande et l’armée skrall ne pouvait la défaire. Elle était trop bien protégée. Pourtant une infiltration était possible. Elle sourit. Elle allait leur jouer un sale tour. Ils auraient toute l’île à dos. Ellle sourit à cette idée. Elle se retourna. De la fumée d’échappait des bâtiments auxquels les skralls avaient mit feu. Elle courut vers la ville et s’entraîna à faire une expression de panique. Les skralls étaient une armée et ils venaient de combattre. Il arriveraient dans deux jours. Elle était seule et en pleine forme. Elle arriva aux portes de la ville. Elle courait, « terrifiée ». Un garde voulut l’empêcher de passer pour qu’elle s’identifie mais elle courait. Il la retint et elle se mit à hurler :
-Les skrall ! Ils ont détruits la ville ! Regardez !
Elle montra l’épaisse fumée noire, s’élevant dans le ciel. Le garde répondit tout de suite :
-e bougez pas, il faut que je prévienne le capitaine.
Croyait-il vraiment qu’elle allait rester sans rien faire ? Si oui, il était fou. Elle s’enfonça dans la ville. L’alerte fut donnée. La cité se mit en branle bas de combat. Personne ne pouvait plus pénétré dans la cité. Mystérieusement, un peu plus tard, un toa fut retrouvé mort, tué par des coupes bourse. Des messagers furent envoyés vers les autres cités de l’île. Silphia était dans l’ombre. Les skrall ne sortiraient pas vainqueur de cette guerre et les toas auraient de lourdes pertes. Elle devait tuer deux personnes ici. Elle se rendit à la taverne. C’était le meilleur moyen d’avoir des renseignement. Le chemin fut long., très long. Elle pensait aux skralls. Ils étaient de bons guerriers, ils avaient un bon arsenal mais ils n’étaient pas assez nombreux contre l’île entière. Elle pénétra dans le bâtiment. Il n’y avait qu’une seule source de lumière, qui, de plus, était blafarde. Un homme encapuchonné était assis au fond de bâtiment. Il était seul. Silphia connaissait bien ce genre de personne. Des informateurs. Ils demandaient beaucoup mais leurs informations étaient fiables. Elle se dirigea d’un pas assuré vers lui. Il ne l’entendit pas venir. Elle était parfaitement silencieuse. Aussi, il fut surpris lorsqu’elle s’assit à côté de lui. Il la regarda avec insistance. Elle le savait bien qu’elle ne pouvait voir son regard. Elle ouvrit la discussion.
-J’ai besoin d’information…
Il lui coupa la parole :
-Je m’en doute.
Il eu un petit rire
-Dites moi sur qui…
-Sur deux toas. L’un senomme Heirmen Zckal et l’autre Irnal Tira.
Il tendit la main. Surement pour avoir l’argent.
Elle secoua négativement la tête.
-D’abord les renseignements, après le paiement.
-Non, Non, non ma p’tite dame. Ca ne marche pas comme ça…
-Je me suis déjà avoir une fois…alors les informations, ensuite le paiement. Sinon, je peux toujours allez voir quelqu’un d’autre. Il ne demandera pas aussi cher qu’un informateur.
Il soupira.
-Bon, vous avez gagné.
Il se leva et rajouta :
-demain à l’aube.
Il s’en alla. Elle commanda à boire, sirota son verre et sortit.

Le problème étant que les Skrall ne comptaient pas rester à faire la fête. Un Bone Hunter, perché sur un toit, attira l'attention.
-Chefs ! Chefs ! Le bateau est plein à craquer, et les troupe sont en route pour partir !
-Bien. Messieurs, pendant que nous faisions mu-muse, on as récupéré tout l'essence que nous avions besoin. Vous avez distrayant, merci. Hmm non merci ...
Il siffla. Un Skopio sortit du sol, sous les pieds des Toa qui firent un baptême de l'air. Puis un autre, avec encore le bel envol de guerrier qui va avec. Tirant sur le groupe qui restait, les deux engins firent place nette. Koorhnt s'avança vers l'un deux, qui se mit en mode "Tank". Il prit les commandes.
-Nous avons déjà assez perdu de temps comme ça. Ne restons pas ici maître. Sa pourrait se gâter.